En novembre en ce mois Où le temps est propice au cafard Et à maintes afflictions posthumes Les humains que nous sommes Endeuillés par les peines En nos cœurs saturés d'amertume Vivent enivrés de tristesse et d'émois Dès lors ces états d'âme les effarent
Nous sommes Amèrement déçus Par les règlements de ce monde Ceux-ci engendrent en nos coeurs De profonds sentiments De haine Et nombres de rancoeurs Ces tourments hélas à notre insu Se répandent à la ronde
A ceux qui ont pris ces chemins Rancuniers du ressentiment Quittez vite cette route morose Aux multiples embûches sans aucuns lendemains Vous connaîtrez ainsi une vie toute en rose