Nous étions fin juillet,en début de soirée Pas un souffle,pas un bruit,un silence total Un orage montait du fond de la vallée Le ciel devint tout noir,d’une teinte infernale
Arrivent le tonnerre,la peur et les éclairs Les nuages éclatent,déversant leurs eaux claires Réapparaît enfin la charmante villette Sur ses toits bleus,mouillés,le soleil jaune prospecte
La nature s’éveille,pressée et s’en va d’un bon pas La vie est ainsi faite et de hauts et de bas Ses orages imprévus nous causent quelques soucis Mais nous savons qu’après le temps se radoucit