Enfin en ces heures Voici venir le printemps Où éclosent les fleurs Hélas triste est ce temps Me viennent d'antan Maintes fictions certes où Le bonheur nous rendait fou Ce fut ainsi au fil des ans
C'était paisible sans heurt En nos campagnes et pourtant Déjà des seigneurs comploteurs Par leurs conflits existants Brimaient alors tout autant Les peuplades partout Ce monde là hélas est bête et fou Ce fut ainsi au fil des ans
La foule subit ores moult peurs La crainte dès lors s'étend Gonfle et gagne en ampleurs Créant discordes et exclusions patentes Entre gens de pays distant Ce printemps ores vit encore itou Avec des dévots hors lois filous Ce fut ainsi au fil des ans