Lorsque Morphée me prend,des rêves m’envahissent Tantôt gais et bien faits,tantôt tristes ou à vices Des ombres noires m’entourent et me gardent en dépôt Voila comme sont mes nuits et voila mon repos
Et je vois les yeux clos,défiler mille images J’entends des choeurs chanter de multiples hommages Mon esprit est léger,il prend son envolée Vers des lieux inconnus,vous n’avez pas idée
Bercés par des vents tièdes,semblant indéfinis Je vois parmi le noir ambiant à l’infini Et de blanches nuées,pleines de désarroi Des scènes de la vie que je revis parfois
La sieste ou le sommeil nous rendent habituelles D’aller un prochain jour en ces lieux mal famés Réservés par celui à la faux rétamée En fin de vie sur terre à l’aube d’une nouvelle