Parmi le genre humain il est des spécimens Dont l’esprit délirant s’en va hors du réel Se perdre et divaguer. Dès lors ces gentlemen Errent de délires variés en penchants surréels
Pour doper d’enthousiasme nombres de leurs lecteurs Les poètes sont friands de phantasmes ces vecteurs Qui les poussent souvent à chanter l’irréel De ces amours troublant âmes et rêves idéels
Leur joie est si vive qu’ils jubilent et délirent Dès lors que leurs desseins et propos sont compris Ils savourent en leur coeur cette ivresse hors de prix Et pleurent d’allégresse « in fine » de plaisirs