Je m'en vais bien souvent A deux pas de chez moi Admirer ma mie, la forêt En ses lieux de verdure et de paix
En ce joli mois de mai Je vais en cette coquine forêt Cueillir du muguet en fleurs En belle compagnie Et rêver et flirter à loisir Espérant du bonheur Certes point ne le nie Il conforterait mes désirs
En d'autres temps marcher A couvert sous le vent Pour surprendre en sa couche Par des sentes cachées Un gibier figé tel une souche Me trouble alors d'éternels émois
Ma forêt est un lieu où se pressent Pour son calme bénéfique ses charmes Des citadins dits vivre en stress Heureux d'être hors les bruits le vacarme