Depuis ma tendre enfance en Ardenne chérie Où je vis entouré de forêts à flâneries J’aime à hanter les bois avant les durs hivers Quand le grand cerf brame en ce bel univers
Là,les écureuils roux jouent à cache-cache Surveillés par des schtroumpfs et des nutons bravaches Je parcours lors ces lieux à l’abri du feuillage Ecoutant des oiseaux le joli babillage
Ces balades en forêt donnent paix à mon âme Sont sources de jouvence et tuent le stress infâme En été le soleil dépose sur son sol
Des ombres et des lumières en des formes frivoles Et des rêves éclosent et charment mon esprit J’aime ainsi ma forêt,j’avoue en être épris