À vous que j'ai du délaissée Je viens vous saluer amie Très chère mon cœur fut Hélas un peu rude en ce temps Epris d'autres désirs diffus Certes notre jeunesse fut donc Autant désireuse d'amours Mais alors je vous ai laissée Choir avec moult regrets mamie Car dès lors les vies laborieuses Et maints autres soucis d'antan Occupaient mes loisirs àdonc Nul répit nul plaisirs d'amours Telle fut ainsi notre route D'alors et de nos vies l'état
Vous les jeunes les chouchoutés Du temps présent les dorlotés D'informatique ce délice Avéré d'aides judicieuses Pour les tâches harassantes Et vous l'ignorez sans doute Vous pupilles de la nation Providence hors prestations Citoyennes ni parts ni milice Vous vivez cette jouissance Tels que des retraités d’État