Dès que reviennent Ceux qui s'en sont allés Goûter au parfum des îles du levant Où les soleils sont beaux et les filles halées Par la brise marine dont la douceur Les grise de liesses troublantes Pour jouir quelques temps en ces lieux De délices inconnus et d'oisives détentes D'ensorceler mon coeur souvent Par leurs récits aux charmes ravisseurs Et me gavent de phantasmes élogieux Me contant le plaisir d'aurores enchanteresses Dans la paix d'une nature vierge mystérieuse Où ils gèrent sous les palmiers à l'ombre des flammes Du soleil leurs ennuis leurs paresses avecque les îliennes
Leurs récits idylliques fabuleux en réalité Subliment encore plus mes pensées et rêveries luxurieuses Comme celles des enfants ils enflamment Plus encore mes désirs et attraits dans l'irréalité