Si fille,j’eusse été Je serais Marie-France Pour maman,pas de chance Par un beau jour d’été
Un garçon lui est né Je fus lors,son aîné Charmé dès mon enfance Par l’esprit de ma mère
Elle m’apprit sa France La France de son père J’ai pris goût à ses vins Ses baguettes aux fromages Aux plages,aux pâturages Mais n’en fut point chauvin
De souche ardennaise Luxembourgeois,je suis De culture française J’aime à dire depuis Fraternel,libre à l’aise Un peu comme en Andorre La France,en fait j’adore D’ici,ne vous déplaise
A France.Farjat de là-bas(USA) Ode.Les Maissineries. XII.20