Lorsque tu apparus sous l'éclatant soleil Telle la nymphe vivant à la source voisine Le silence se fit ton entrée fit merveille Et les regards suivaient ta démarche divine
Je revois cet instant où nous fûmes amis Au bord de la piscine une majesté parmi Nous qui déjà en moi créait les joies brèves D'un désir grivois et envoûtait mes rêves
Tu fus la sirène dont les chants mélodieux Ont conquis mon âme et mon esprit endurci Et lors mon cœur atteint par nombres de soucis
Un jour tu es partie en la patrie des dieux Rejoindre les naïades autres dames de l'eau Moi j'espère et attends ta venue à nouveau