Oh ! Muses immortelles déesses Assoupies en mon cœur reines Dès ma tendre jeunesse de mes rêves Pubères de mes ivresses Consolatrices d'amours en peine Je vous prie sauvez la poésie en grève
Oh ! Muses princesses protectrices des Arts Semez à pleine mains vos dons aux rêveurs De l'univers terrestre en larmes Pour que vivent à jamais les charmes Légués lors des temps anciens par faveur A ces chantres de jadis mes idoles super-stars Afin dès lors que le peuple ressente et se pâme Comme moi de ces joies féeriques en leur âme