Mon Dieu,que c'est triste les larmes Celles qui une à une s'écoulent En graines de chagrin et roulent Comme perles et rosée Sur les joues d'une infante en pleurs Dieu,que c'est triste ces pleurs
Aux yeux des gens du monde,nos larmes Ces larmes impromptues seraient le fabuleux miroir Des reflets de notre âme
Dès lors qu'au bord d'un oeil,de dame Je vois; poindre et apparoir Telle une larme d'aurore soudre en matinée Une goutte emperlée d'une humeur larmeuse Je sens vivre en moi un instant de bonheur Car ces larmettes m'inspirent,elles seules d'ailleurs S'en venant droit du coeur éminemment charmeuses