J’allais par les forêts,les prés et sans repère Sur les routes de France,le pays de grand-père Les poches bien remplies et l’esprit nonchalant Je roulais en voiture et sans but emballant
M’arrêtant par ici,m’en allant par la-bas J’allais avec les Muses,mes chères et tendres mies J’étais leur automate,que guidaient leurs ébats J’étais le roi du rêve avec elles comme amies.
Une parfaite vie que seule peut émouvoir La mort qui m’attend certes et viendra tôt me voir