Au loin,la-bas,mélancolique et doux,je vois Dans le noir sombre et froid,émaillés de jaunes lampes Le village s’endormir,sous les Dieux et leur hampe Ecrasés de plaisirs,de fatigue et de joies
En ces chaumières blotties au creux de la colline Des Amours pervers se cachent,ou pleurent en silence Jusque la fin de l’aube,corps et âmes en présence Et puis s’en va le rêve,laissant là l’orpheline