Elles vivent incrustées Au cœur de l’univers Errant sur la voie lactée Là-bas à l’orée des trous noirs A la source des mondes, lieux Où sont les palais de nos dieux
Moi je vis, en composant des vers Admirant ces merveilles le soir Sous la voûte des cieux Illuminant le ciel de mille yeux Nombres d’étoiles brillantes Qui nous grisent à dessein Ou nous rendent soucieux
Parfois le ciel perd une étoile filante Qui chute tel un météore Laissant une traînée brodée d’or Et va emportant en son sein Les vœux et souhaits d’envieux