L'irréel est l'espace où mes rêves Eclosent nombreux en ce lieu alors Ils m'inspirent s'épanouissent Et suivent magiquement dès lors Mystérieux certes une éternelle drève Vers une forêt où des fantômes Jouent en des orchestres Des musiques enchanteresses Qui telles des reines réjouissent Ma vie mon esprit et mon âme
Non je ne puis vous dire en ce temps Où cet éden se dresse Je le garde secret il survit En mon cœur où se pâment En nombres les amours d'antan Qui me charment tel un môme En cette vieillesse où encore je vis Loin des bruits et du stress