Quand le vent d’ouest souffle emportant avec lui Des échos affaiblis et maints parfums de France Les cieux sont en folie et pleurent des larmes de pluie Sur le havre refuge où s’arrêta l’errance
Le temps est révolu où les chères et vieilles tantes Attendaient la venue de la souche adorée Du pays des forêts,des légendes tintantes S’en revenant parfois à la source odorée
Dès que revient l’automne,saison du souvenir Des pensées toutes folles m’imprègnent aussi le front Mon coeur bat et résonne et n’a qu’un seul désir Partir humer cette ville et arpenter ses ponts
à Charleville-Mézières.fr.08 Faubourg de Pierre 12 à Mézières Ode Les Maissineries.XI.19.