Certes mon vœu le plus cher Serait que tu trépasses vite Car tu t'en vas anodinement Muette et sourde à mes vœux Tu troubles sans vergogne Ma vie et la paix emportant Chez moi d’innommables Craintes à subir en nombres
Dis soumets toi enfin oh satanée Douleur que je retrouve joie De vivre sous ton aile nature Pour guérir mes maux De peines et la fatalité
Tiens-toi calme en ton coin Et surtout restes en ce lieu Pour mon bien être Laisses-moi vivre sans toi Mon temps de vieillesse