La vie a comme atouts des joies et des plaisirs Mais est hélas aussi mère de dures peines Au point que les humains subissent en martyr Nombres de souffrances liées à leur destin
Mon esprit aujourd'huy vit ce piteux festin Mon aimée ma mie envisage partir Lors mon cœur ne sait où cacher sa déveine Car ce brasier en feux affecte mes désirs
Mes yeux pleurent en vain des rivières de larmes Rien ne peut la troubler car j'ai perdu son cœur Elle aime un être dont elle subit les charmes
Elle est tyrannique sous ses abords moqueurs Les ans ruinent l'amour puis calment les souffrances Je suis triste ce soir face à sa manigance