Les cieux d'un bleu parfait exaltaient nos désirs Tout était merveilleux la nature respirait La belle en cet instant goûtait peu ces plaisirs Car son esprit souffrait et tourments endurait
Un chagrin ce matin aima son cœur choisir Elle etait triste et dès lors souvent pleurait Que de larmes ses yeux subissaient à loisir Contrainte de vivre cette peine la murait
Lors les jours s'écoulaient lents en grande peine La belle vivant ainsi une forte détresse Aux moments où pourtant sa vie allait sereine
Cette tristesse en elle use force maîtresse Contrite la pauvrette à vivre cet héritage Ce chagrin est mortel il tient à son otage