Dans la chapelle, plus d’hirondelles. Aux mariages, plus de pucelles. L’abbaye ne voit plus venir de moines. Voilà le temps venu de l’antimoine
Les gargouilles déguellent, délétères, Les vomissures nauséeuses de la Terre, Sur les dalles de pierre rongées Que, même, toute mousse, a désertées.
Les chênes dardent leurs bras décharnés, Aux cieux, suppliques surannées. Il y a très longtemps qu’aucun corbeau Ne lance plus de cris sur les tombeaux.