(À Francine Brandicourt 29 juillet 2006, d’après son oeuvre)
Ecorce si écorchée du pin Que je glane au rebord du chemin, Ton chagrin n’égale point le mien. De ton assemblage naît mon dessein. Je vois, de ta si sombre écorce, Ressusciter la peau scarifiée, Qu’après l’initiation, ont les gosses. Mon tableau est noir comme les guerriers.