Tout va par deux, Jeunes comme vieux, Hommes et femmes, Tout feux, tout flammes. Tout devrait aller par deux, Sauf quand l’un va aux cieux. Tout pour être heureux, Sauf que, séparés, sont les deux ! Ceux-là, ils savent pourquoi Ils ont, eux, perdu la foi. Ils se sont aimés là-bas, Et ne le regrettent pas. Il y a ceux qui devinent leur destin Sans arriver à se tenir la main.