Là sur la colline se trouvaient quatre pierres Formant un monument au regard de l'Enfer. On y trouvait gravés les dix commandements D'un monde parfait, irréel, très inquiétant.
Tôt ce matin le souffle du vent a parlé (La voix de l'Éternel dans le ciel explosé.) Les mots gravés sur les énormes monolithes Se sont envolés en poussière de granite.
Un vent de victoire souffle sur la colline. Le monde révélé peu à peu se dessine. Des ruines fumantes de ce temple de pierres S'élèvera bientôt l'éternelle Lumière.