Ainsi s’achèvent les métamorphoses De l’être qui grouille aux paupières closes Frissonnant de son indignation
Que partagent quelques cancrelats Qui dévorent mon âme éparpillée En filaments sombres
Comme mon humeur est glauque, mais pourquoi ? S’échapper de ces barreaux de paille, Courir là où sourit un faible instant L’éternité féconde A dieu, je m’en vais point.