Ô très sage Athéna, montre-moi le chemin Afin que je ne me fourvoie pas, tout penaud, Dans les méandres noirs de mon propre cerveau Où s'est déjà perdu le gros de mon latin. (Mon grec, pardonne-moi, pure hellène divine, Je ne l'ai point perdu, ne l'ayant jamais su !). Epargne-moi le sort des cervelles fourbues, Fais donc que nullement mon jugement décline …
Et je te chanterai, ô déesse aux yeux pers, Demain plus qu'aujourd'hui et beaucoup mieux qu'hier...