Le coeur sec comme le ciel Pleurent les toisons d'or Au bout des routes s'étalent les fortunes Et les gouffres sont larges qui mènent à la vie
Sourire dans ces enfers clos Le masque s'avance, blanc coeur Et de tomber les voiles, hurler les sonneurs C'est la nuit qui se cabre, lue en d'autres eaux
Doit-on parer à la joie? Caresse l'oraison des potences Ces filins, d'ombres peuplés, tentent le voyageur De nos jours sur des murs en carton:"Vendus au prix du comm