Il y a ces vagues déferlantes, S'échouant dans ce fouilli humain; Ah! Comme tes caresses sont loin, Belle dame aux douceurs apaisantes. Et tous ces flots, où glissent mes doigts, Langoureusement s'agitent, et puis, L'odeur, la chaleur de ta peau fuient En ces heures qui m'éloignent de toi.