La solitude, la laide solitude ! Essaime mon ciel bohémien de bleu hiémal. De printemps orgueilleux, d'été somnolent. Quiétude Où gît le reflet écumeux, noir métal.
L'éclosion du soir aveugle, mendiant Où le vent émeraude chasse les noirs démons, Et je m'assieds sur le sol fuyant, Là où l'herbe essuie les pieds d'Apollon.
J'ai cueilli l'étoile orpheline Qu'adulent les doux sanglots hiémaux, Là où l'aurore moribonde et citadine Etreint l'arlequin noir, l'arlequin abricot.