Tu t'es donnée à moi, sans peur, sans quiproquo M'as offert tant d'amour, autant de tendresse, Tant de toi, de ton âme, émanant de ta peau Mária la porteña, telle une détresse
S'abattant sur la ville et inondant ses rues Sans jamais s'arrêter, sans aucun refuge Et ainsi l'engloutit telle une marée drue Comme les larmes nues d'un cruel déluge
J'espère de mon coeur, t'avoir donné la paix Dans le petit bonheur né de nos rencontres Avec cette chaleur du soleil qui guidait L'amour de nos tangos, sans obstacle contre
Je ne suis pas allé là où l'amour émet Son appel surhumain, loin des novio novia Dans un tendre abrazo, là où tu m'attendais Telle ma danseuse, ma porteña, Mária