Attendre celui qui doit venir, Y penser et puis ne pas le dire. Croire que l’on se reconnaîtra Et espérer que vite, ce jour viendra.
C’est ainsi pour moi et pour d’autres, Chaque jour qui se lève l’espoir nous offre. La flamme de l’attente j’entretiens, Pour être prête le jour où tu seras mien.
A quoi ressembles-tu ô toi ? Je ne le sais, mais te reconnaîtrai. Seras-tu cette autre moitié de moi ? Où es-tu ? je te sens si prêt...
Hier, je crois que je t’ai vu mon ami. Tu m’as croisé et l’espace d’un court instant, Mon cœur a frôlé l’histoire de ta vie. Je t’ai senti si fort à ce moment,
Que l’évidence de notre lien a jailli. Ta présence m’a mise en joie, et j’ai ri. Ton absence déjà crée l’ennui et l’impatience, J’attends ton retour pour reprendre conscience.
