Il suffit que de toi je me rapproche Pour voir déferler les reproches Tu es souvent à l'origine de nos disputes Et en bête enragée et brute tu te mutes
À cause de ta rancœur vis-à-vis de moi Tout ça parce que je n'ai pas ta foi Voici l'orage qui me prend au piège Difficile de résister à tant de sièges
Assiéger régulièrement et méthodiquement Ma forteresse se fissure inlassablement Déjà l'ouvrage subit des dégâts psychologiques Avec sont lot de maladies psychosomatiques
Dans cette tempête qui devient infernale Surgit le côté sombre d'un individu banal C'est la course à la surenchère Et tous paient le prix cher
Tout ce qui se dit n'est plus censuré Et cette souffrance je dois l'endurer Car très vite ça dégénère Et laisse à vif nos nerfs
Enfin une éclaircie apparait Et son lot de regrets On se souvient des moments heureux Et du temps où on était amoureux
J'attends impatient que le bon Dieu Essuie les larmes de mes yeux Et mette fin à ce maudit jeu... ... Avant qu'on se disent : "Adieu"
(quelques mois plus tard...)
Elle m'a rendu la vie impossible Tandis que dieu est resté impassible Malgré ma résistance et ma résilience J’ai dû mettre fin à mon alliance