J’ai trouvé enfin Une femme qui raisonne Qui demande la lune, pour éclairer son jardin Qui cherche une étoile, une couronne J’ai trouvé enfin cette femme Une rêveuse, une menteuse, et une très chaleureuse De la pitié je te prie De la misère aussi Je n’aime plus écouter Les orfèvres douloureuses