Aux lèvres de tes lèvres j’avais trouvé un oiseau qui picora Un cœur mou comme un mystère. Aux lèvres de tes lèvres j’avais semé des forêts sur les col Des montagnes de torsades sur la terre odorante. Aux lèvres de tes lèvres j’avais regardé les bateaux qui app Les équipages rouges, les sacs sur les épaules Aux lèvres de tes lèvres, j’avais entendu les cris du paon L’écho tournant, le chant brulant des quatre v Aux lèvres de tes lèvres j’avais perçu le passage des saison Au cœur de l’été tes paupières closes pour la f Aux lèvres de tes lèvres j’avais perçu les tourbillons des f L’écume, les torrents, les cascades, les poisso Aux lèvres de tes lèvres j’avais tournoyé autour du pin tord Au corps d’écailles rousses qui se poussaient da Aux lèvres de tes lèvres j’avais rencontré le désir de l’aub Le grand tournoiement des hirondelles rouges. Aux lèvres de tes lèvres j’avais prononcé des mots chargés d Comme les pigeons qui se suivent dans les branches Aux lèvres de tes lèvres c’était tout l’été qui éclatait Avec ses nuages d’orages, ses insectes par millier Aux lèvres de tes lèvres la liberté pointait son nez Derrière les lunettes moirées des pieuvres tourmen Aux lèvres de tes lèvres j’avais regardé le vent dans les du Un grand bol d’air pour les plumes de la lune. Au lèvres de tes lèvres je m’étais étonné de rencontré l’ois Et mon cœur qui battait, qui battait, qui battait à n’en