Par les chênes qui s'étaient habillés Par les oiseaux qui s'étaient télescopés Par les chevaux qui s'étaient secoués Par la mousse qui avait dégoulinée Par les écureuils qui avaient débordé Par l'eau de source qui avait grimpé Par les enfants qui avaient visité le château Par les enfants qui portaient un chapeau Par ton visage qui me regardait à l'envers Par ton amour énorme qui me portait Je me sentais beau comme un pic-vert