Avenue des baisers lourds Le belles femmes regardent des montres Les livres brûlent Les apocalypses chantent Les hivers engloutis par la neige Grand luxe sur les portes des hôtels écrire pour écrire Ne plus penser Se retrouver dans le z Puis passer au délà de l'alphabet Dans les lignes violettes de l'écriture
écrire, écrire Le z n'a plus de tête C'est une musique de mots Ainsi en regardant les arbres Chevelures dans le vent Je vois ton visage Je t'aime