Parmi les centaines d'arbres qui habitent dans la forêt, Il y a ce vent, qui me caresse les joue. Parmi les dizaines d'immeubles qui caressent les nuage, Il y a ce vent,ce vent qui me gratte le menton. Mais parmi les milliers de feuille qui tombent en automne, Je préfère ce vent,ce vent qui me soulève les cheveux.