Il volait sur un nuage Au bleu si pur Lorsqu'une bouche, Eux lèvres pulpeuses, Le rendit soudain blême.
Deux yeux marrons, D'une beauté sans mesure, Des cheveux châtains, Une auréole, même, Vinrent tous ensembles L'éblouir Le transformant En étincelle, Comme un aigle, Dans son sourire, Esquissant un songe Presque réel.
Cet oiseau là, Chrysalide, C'est un être perdu Dans l'immensité du jour.
Et belle princesse, Passant avec légèreté, Laisse cet homme A ton âme s'abandonner.