Au village là-bas, au-delà de la colline, J’ai laissé mon cœur qu’il assassine, Quand pendue à son bras, l’autre, câline, Lui susurre les mots que je lui destine.
Dans la maison cachée par les arbres J’ai abandonné mes armes Et répandu des larmes. Pou lui, je n’avais plus de charme.
Sur la route qui serpente Je suis partie convalescente. Mon âme clémente Pardonne sa démence.
Au bord de la route J’ai abandonné mes doutes. Mon ange-gardien sans doute Etait à l’écoute.