L'amour, Certains le croient cyclique et pareil aux saisons, Qu'ont-ils à raconter ? Un instant écoutons.
Le soleil tout d'abord apportant ses rayons, Fait prestement fleurir d'impatients bourgeons. Ils égaient à raison les plus tristes vallons. Ô ! monde coloré, tu es l'invitation, Au plus solide cœur à céder aux passions.
Puis le Roi lumineux poursuivant sa conquête, S'attèle à continuer de chauffer nos journées. Temps des plus moment, la vraie saison des fêtes, Un précieux cadeau et l'on doit remercier, Ce riche bienfaiteur de nous l'avoir donner.
Mais soudain le seigneur laisse sa place au gris, Il se confronte à des nuages aigris, Qui sont la conséquence des premières colères, Se terminant toujours par des larmes amères, Maintenant sans repos, la pluie heurte la terre.
Et le froid s'invitant gèle les sentiments, Faisant mourir la vie sous une couche de neige. La lumière bénie nous a fuit trop longtemps, Sa superbe couleur s'affaiblit devient beige, Et la dernière fleur, nous salue-t-en mourant.
Reprenant leur idée j'espère sottement, Que l'hiver s'écoulant, revienne le printemps.
