Douceur délicate berçant la pulsation, D’un indicible murmure tout empli d’émotion, De mon cœur ondoyant sous le reflet falot D’un soleil qui meure, hagard et palot.
Nuée incandescente qui rallume mon être En un grand tourbillon de bonheur et d’envie, Rallumeuse adorée d’une âme allant renaître Quand elle n’était la veille même plus voué à la vie.
C’est ta grâce et ton rire en cet instant fugace, Qui me viennent à l’esprit dans cette contemplation De ton être absent, tel une apparition, Et me fait endurer une affliction tenace.