Les bouleaux dépouillés ne montrent que leurs branches. Leurs troncs au souffle du vent glacé se balancent Ondulants comme des champs de blés, en cadence, Pour me rappeler le mouvement de tes hanches.
Car ainsi vont les souvenirs dans la vieillesse De ceux qui sont condamnés à vivre longtemps Dépouillés de leur aimée tombée bien avant Qu'ils sentent la faux de la seule vrai Déesse.