Elle marche d’un pas rythmé Et d’un balancement mignon. Sa sangle à demi détachée Oscille devant son sillon Comme un métronome inversé Mesurant la longueur de vie. Le saphir doit s’insinuer Dans ce microsillon ravi. Pour pouvoir l’entendre chanter Elle devra frotter la tige De mon vergeophone Baschet Jusqu’à ce qu’enfin il se fige.