La haine est une montagne sans visage Comme l’alcool elle s’embellie avec l’age Prenant agressive nos esprits enragés Elle descend heureuse pour nous assassiner
Il m’est impossible d’en entrevoir les raisons Je souffre, j’ai mal et la lumière a male aussi Le vent siffle lentement les notes de ta trahison Et mes larmes aiguisées la chante jusque ici
Une voie douce et souriante vous glisse un mot Une nouvelle surgit dans l’air et vous anéantie Les charmes de l’œil s’effacent et le sujet est clos L’amour s’est échappé et notre histoire, c’est finie
Mes rêves familiers, ma poésie vous salut et vous jète Le temps des chimères est loin et la mort vous guette Je vole libre et léger sur vos sombres âmes meurtries Par les piques des soldats de votre douce infamie