Lentement mes yeux ébahis s’endorment La lune souriante appelle ton arrivée Doucement ton ombre se montre et prend forme Qu’attend muse pour atteindre mes pensées
Tes yeux innocents éveillent le désir étrange D’une caresse immortelle au creux de main Et ta bouche accueillante ressemble à cet ange Qui sans y penser mêle son sourire au mien
Les mélodies chantent ou tes mains caressent Une foule amassée lentement disparaît La mer recule au rythme des cris qui cessent Et nos lèvres mêlées s’appelleront à jamais
Les mots ont le doux pouvoir des rêves Celui fantastique et étrange d’effacer les distances Embrassons-nous cousine quand le soleil se lève Pour que la nuit venue les étoiles dansent