L'éventail se déploie dans le noir apparent Et l'oiseau s'envole vers le petit matin. La bohémienne dévoile son amour ardent, En laissant glisser son regard tel un refrain
Pour recueillir la lune sur sa poitrine Et s'étendre sur l'herbe d'émeraude: La rêverie l'emporte vers la colline Pour retrouver l'aurore dans l'air de l'ode.
Elle respire ce refrain de la posture De l'équilibre intérieur des chemins sereins Aux confins ensoleillés de la nature
Où l'humanité,qui est en elle,sourit. Son coeur s'ouvre et se tourne vers les cieux lointains Et dans ses yeux diaphanes, je vois l'infini.