Quoi de plus doux qu'une maman Qui se dévoue tant et tant, Donnant sa jeunesse, sa vie même Hélas jusqu'à l'heure suprême. Et nous, que lui donnons nous? Parfois chagrin, soucis en retour. Oh maman, pardonne à ton enfant De te causer tant de tourments. Lorsque tes cheveux seront blancs Tu vieilliras près de ton grand Qui t'entourera de tendresse et d'Amour Afin d'adoucir tes vieux jours. Et là, tu songeras par instant Qu'il est encore Petit Enfant.