Un jour, une colombe m’est apparue, Un bel oiseau blanc portant en écuyère, Une fée étincelante d’étoiles vêtue, Fendant les lourdes nuées atrabilaires.
Point de bruit ne fit ce messager céleste, Mais soudain brillante lumière rayonna, Chaleur douce et tendre me darda, Mon coeur ce jour encore en atteste.
Nuées envolées, mélancolie oubliée, Une chaleur inonde mon corps, Un bel azur est un réel décor, Tendre fée, tu es divine dans ta livrée.
Colombe de vie, messagère de joie, Qu’il est bon ce merveilleux octroi, Bonheur, joie, espoir m’étaient passés, Dans ma vie luit une nouvelle félicité.