Le ciel d’un rouge flamboyant, Se voit maculé de ces rayons verts D’un soleil terne outrageant, Masqué dans ce noir pervers.
La pluie vague, d’un trait déchirant, Mouille l’écume à l’amer relent, D’une oblique plage à l’aspect virtuel, Ensablée d’invisibles mirages visuels.
Un orage sourd, insipide et silencieux, Festoie au grand large de l’horizon. Lumières, silences et silhouettes de feu, Figures empreintes d’impensables illusions.
L’azur verdoie dans ce glacial enfer, Les nuages accourent à pas feutrés, Les vagues de mer engouffrent l’amer, Les sens se perdent avec gravité.